Une fois de plus, Monique se sort royalement d'un exercice pas évident. A travers un style qui n'est pas le sien, imposé par une espiègle esperluette, on reconnait encore son regard, son propre style.<br />
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J'adore le côté épuré de "après le flou vient le net", presque asiatique, presqu'une calligraphie ; la fraîcheur de l'iris de la 1 et son flou de bokeh super bien maîtrisé (un bokeh d'iris...) ; la délicatesse de la 7... le souci de construction de l"image en général, essentiel dans un style aussi impressionniste que le flou.
Une fois par mois, des balades, des images, des écrits.
Récits d'explorations urbaines dans l'agglo de Bordeaux, regards croisés d'un groupe d'exploratrices et d'explorateurs à dimensions variables.
Un clin d'œil collaboratif de L'esperluette.